Pour être respecté·es, entendu·es, reconnu·es.
Élections aux 3 conseils de l’université Paul-Valéry
Pour être respectées, entendues, reconnues.
Pour être respectés, entendus, reconnus.
Contre la mise en concurrence de tous contre tous.
La C.G.T. des universités de Montpellier est un syndicat de site. Que vous soyez personnel administratif, de bibliothèque, chercheur, doctorant, enseignant, enseignant-chercheur, technique, et quel que soit votre statut, titulaire, contractuel, du public, du privé…, la C.G.T. des universités de Montpellier s’adresse à vous et peut vous défendre et vous représenter.
À l’université Paul-Valéry Montpellier 3, des militants vous représentent et siègent dans les conseils centraux, au comité technique (C.T.), à la commission paritaire d’établissement (C.P.É.), au comité d’hygiène, de sécurité et des conditions de travail (C.H.S.C.T.) et autres commissions. Ils participent aux commissions académiques (CAPA) pour vous défendre et l’affiliation à l’union nationale FERC-Sup C.G.T. garantit le bon suivi des dossiers. Ces militants vous accompagnent et vous défendent dans vos démarches.
Voter C.G.T., c’est élire des candidats qui défendront tous les personnels et le service public, des candidats qui sont déjà à vos côtés dans le quotidien, des candidats qui n’apparaissent pas uniquement à l’entrée de l’université dans les semaines qui précèdent l’élection, des candidats qui ne donnent pas procuration à la présidence pour les conseils, qui ne dorment pas pendant les discussions, des candidats qui s’opposent aux mauvais coups.
Faire vivre la démocratie, c’est aussi faire barrage aux pratiques clientélistes, cela passe par une représentation diversifiée dans l’ensemble des conseils.
⇢ Lutte contre la précarité, augmentation du point d’indice et des possibilités de promotion. Nos positions claires portées par une organisation syndicale interprofessionnelle puissante, à la pointe du progrès social.
⇢ Refus de la division des personnels et de l’individualisation des primes et des carrières, refus du nouveau régime des primes (RIFSEEP), refus des privilèges
⇢ Recrutement de personnels titulaires (enseignants-chercheurs et BIATSS) pour rétablir une charge de travail acceptable au service des usagers.
⇢ Informations des adhérents et de la communauté universitaire par des permanences, des réunions, des courriels, des heures d’informations syndicales…
⇢ Travail en réseau avec les C.G.T. de l’enseignement supérieur et de la recherche : C.N.R.S., I.R.D., INRA…
⇢ Résorber la précarité : poursuivre une politique volontariste de titularisation.
⇢ Revaloriser les primes statutaires en les alignant sur le taux le plus favorable des corps de même niveau de la fonction publique.
⇢ Mettre en place une prime pour les personnels contractuels.
⇢ Veiller à supprimer les sous-effectifs.
⇢ Assurer à tous, de bonnes conditions de vie au travail dans le respect des règles d’hygiène et de sécurité.
⇢ Créer un véritable suivi de la santé par un service de médecine du travail complet et opérationnel.
⇢ Ouverture d’un véritable débat démocratique sur l’avenir de l’Université.
⇢ Meilleure représentation des personnels non enseignants au Conseil d’administration : 6 autorisés (réduit arbitrairement à 4 actuellement, par la volonté du prince).
⇢ Rétablir le fonctionnement démocratique de nos institutions : conseils d’administration, académique, CÉVU, C.S. Ne plus les cantonner à de simples chambres d’enregistrement.
⇢ Préserver le rôle des composantes qui sont garantes des services de proximité et à l’écoute des chercheurs, enseignants-chercheurs, des enseignants, des personnels techniques et administratifs et des étudiants.
⇢ Garantir une offre de formation de proximité, de qualité, diversifiée, professionnalisée et adossée à la recherche.
⇢ Permettre l’accès de tous à l’Université sans augmentation des droits d’inscription.
⇢ Favoriser des bonnes conditions d’études pour toutes et tous, sans aucune sélection par numerus clausus.
⇢ Renforcer la formation disciplinaire avec un calendrier universitaire étalé sur une durée suffisante
⇢ Augmenter équitablement les financements pour tous les cursus de formation.
⇢ Soutenir les jeunes chercheurs et financer un soutien pérenne à la recherche.
⇢ Refuser la course à l’échalote des IDEX, LABEX et autres E.R.C. qui engendrent précarité, souffrance au travail et démotivation. Ces orientations sont contradictoires avec le fonctionnement collectif de la recherche et destructrices à terme.
Conseil d’administration
Conseil scientifique
Conseil des études et de la vie universitaire
Envoyez un message à elections chez cgt-um.org
Page publiée le mercredi 16 mars 2016